| | Auteur | Message |
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Absolution♦ › i'm a modératrice.
▪ Messages : 1126 ▪ Date d'inscription : 01/01/2010 ▪ Age : 32
| Sujet: ♦ Citations [FILMS] Jeu 4 Mar - 20:39 | |
| Postez ici vos citations préférées de films ;) |
| | | DEARdiary › apprécie muteens.
▪ Messages : 412 ▪ Date d'inscription : 31/12/2009 ▪ Age : 27
| Sujet: Re: ♦ Citations [FILMS] Jeu 4 Mar - 21:03 | |
| ▬ Jeux d'enfants, - Citation :
- « - Tu crois au coup de foudre ?
- Ouais. - Naive ! »
« Du bonheur à l’état pur, brut, natif, volcanique, quel pied ! C’était mieux que tout, mieux que la drogue, mieux que l’héro, mieux que la dope, coke, crack, fitj, joint, shit, shoot, snif, pét’, ganja, marie-jeanne, cannabis, beuh, péyotl, buvard, acide, LSD, extasy. Mieux que le sexe, mieux que la fellation, soixante-neuf, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra, brouette thaïlandaise. Mieux que le Nutella au beurre de cacahuète et le milk-shake banane. Mieux que toutes les trilogies de George Lucas, l’intégrale des muppets-show, la fin de 2001. Mieux que le déhanché d’Emma Peel, Marilyn, la schtroumpfette, Lara Croft, Naomi Campbell et le grain de beauté de Cindy Crawford. Mieux que la face B d’Abbey Road, les CD d’Hendrix, qu’le p’tit pas de Neil Armstrong sur la lune. Le Space-Mountain, la ronde du Père-Noël, la fortune de Bill Gates, les transes du Dalaï-Lama, les NDE, la résurrection de Lazare, toutes les piquouzes de testostérone de Schwarzy, le collagène dans les lèvres de Pamela Anderson. Mieux que Woodstock et les rave-party les plus orgasmiques. Mieux que la défonce de Sade, Rimbaud, Morisson et Castaneda. Mieux que la liberté. Mieux que la vie... »
« Le problème c’est que même si tu m’disais j’adore j’te croirais pas. Julien je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas. J’suis perdue. Attend. J’ai pas fini. Dis moi qu’tu m’aimes, dis moi juste que tu m’aimes parce que moi j’oserais jamais te le dire la première, j’aurais trop peur que tu crois que c’est un jeu. Sauve-moi. J’t’en prie. » ▬ 1Obonnes raisons de te larguer,
- Citation :
- « Je hais ta façon de me parler
Et la couleur de tes cheveux Je hais ta façon de conduire Et de me regarder dans les yeux Je hais tes stupides bottes d’armée Et ce que tu devines en moi Je te hais au point d’en crever Et même de te tuer parfois Je hais ta façon d’avoir raison Tes histoires inventées Je te hais quand tu me fais rire D’avantage quand tu me fais pleurer Je te hais quand tu n’es pas là et que tu es dieu sait où Mais je hais surtout de ne pas te haïr Ni un seul instant Ni une seule minute Ni même du tout » ▬ The holidays, - Citation :
- « Je deteste que l'on m'enleve à toi.. »
▬ Titanic, - Citation :
- « Si tu sautes moi je saute pas vrai ? »
« Pour que ce jour compte » ça c'est juste ma phrase quoi♥ Bref j'ai pas tout mis :S |
| | | Laly › découvre muteens.
▪ Messages : 23 ▪ Date d'inscription : 12/03/2010 ▪ Age : 32
Petit mot dédicasse:
| Sujet: Re: ♦ Citations [FILMS] Dim 14 Mar - 15:54 | |
| J'ai aussi instinctivement pensé à Jeux d'enfants.
VIRGIN SUICIDES (le scénario qui m'a le plus marquée)
« Le début de la fin pour notre quartier, fut le suicide des sœurs Lisbon. A croire qu'elles avaient prévu la mort des ormes le dur éclat du soleil et le déclin de notre industrie automobile. Adolescents, déjà, on a cherché à comprendre. On cherche encore. Quand on se croise dans un repas d'affaires, un cocktail on se remet à ressasser les éléments de l'histoire Tout ça, pour comprendre les 5 nanas qui, après tant d'années, nous obsèdent encore Cecilia, la benjamine, avait 13 ans Lux, 14 Bonnie, 15 Mary, 16 et Therese, 17. »
« Nous ne saurons jamais comment les évènements s'étaient enchainés, nous en discutons encore. »
« Nous avions des pièces du puzzle mais il subsistait des lacunes. D'étranges formes vides dessinées par ce qui les entourait, semblables à des pays inconnus. Ce qu'elles avaient laissé n'était pas la vie mais une liste banale de choses ordinaires. »
« A l'évidence, on a affaire à une rêveuse qui a perdu le contact avec la réalité. Elle a dû croire qu'elle s'envolerait. »
« Les arbres, comme des poumons gonflés d'air ; ma sœur me tire les cheveux, la mégère. »
« J'ai fait une tarte à la mort-aux-rats. Je croyais pouvoir la manger sans éveiller de soupçons ... Ma mémé avait 86 ans, elle adorait les gâteaux, elle en a mangé trois parts. »
« Leur seul contact avec l'extérieur était les catalogues qui remplissaient leur boîte aux lettres de photos de mode et de prospectus de séjours exotiques. Elles visitaient en imagination les temples dorés du Siam, croisaient un vieillard occupé à balayer la mousse d'un jardin japonais. Nous commandâmes les mêmes catalogues. En les feuilletant, nous marchions dans la poussière avec elles, nous arrêtant pour les aider à porter leur sac posant les mains sur leurs épaules moites contemplant des couchers de soleil couleur de papaye. Nous prenions le thé avec elles au bord d'un lac, tout nous était possible. Cecilia n'était pas morte. Elle se mariait à Calcutta. »
Attention, à ne pas lire si vous n'avez pas vu le film.
- Spoiler:
« Je suis rentré seul sans me soucier d'elle, c'est bizarre. Pourtant elle me plaisait beaucoup. Mais sur le terrain de foot...c'était pas pareil. Je l'ai jamais revue. La plupart des gens connaîtront jamais cet amour-là, moi, je l'aurai connu une fois. »
« Bonnie mourut probablement pendant que nous attendions au salon, à rêver d'autoroutes, Mary mit sa tête dans le four peu après, Therese, bourrée de somnifères était morte avant notre arrivée. Lux fut la dernière. »
« En définitive, qu'importe l'âge qu'elles avaient, ou qu'elles aient été des filles. Seul compte le fait que nous les avons aimées, et qu'elles n'ont pas entendu nos appels, qu'elles ne les entendent toujours pas, là où elles se sont retirées, seules à jamais, là où les pièces manquantes manqueront à jamais...»
V POUR VENDETTA
« Voilà ! Vois en moi l’image d’un humble Vétéran de VaudeVille. Distribué Vicieusement dans les rôles de Victime et de Vilain par les Vicissitudes de la Vie. Ce Visage, plus qu’un Vil Vernis de Vanité est un Vestige de la Vox populi aujourd’hui Vacante, éVanouie. Cependant cette Vaillante Visite d’une Vexation passée se retrouve ViVifiée et a fait Vœu de Vaincre cette Vénale et Virulente Vermine Vantant le Vice et Versant dans la Vicieusement Violente et Vorace Violation de la Volition ! Un seul Verdict : la Vengeance. Une Vendetta telle une offrande VotiVe mais pas en Vain. Car sa Valeur et sa Véracité Viendront un jour faire Valoir le Vigilant et le Vertueux. En Vérité ce Velouté de Verbiage Vire Vraiment au Verbeux alors laisse moi simplement ajouter que c’est un Véritable honneur que de te rencontrer. Appelle moi V. »
« Remember, remember, the fifth of November, the gunpowder treason and plot. I know of no reason why the gunpower treason should ever be forgot. » (rien ne vaut la version anglaise mais voici quand même la française : Souviens toi, souviens toi du 5 novembre 1605, de la conspiration des poudres de Gary Fawkes et de Jacques 1er, souviens t’en car à l’oublier jamais je ne pourrai me résoudre.)
« Sous ce masque, il y a plus que de la chair. Sous ce masque, il y a une idée Creedy. Et les idées sont à l’épreuve des balles. »
« Et tu vas faire quoi, hein ? On a ratissé toute la zone, tu n’as rien. Rien à part tes poignards ridicules et tes prises de karaté minables, contre nos flingues. - Non, vous avez des balles et l’espoir que je sois à terre quand vos armes seront vides. Parce que dans le cas contraire vous mourrez avant d’avoir pu recharger. »
« C’est à madame justice que je dédie ce concerto, en l’honneur des vacances qu’elle semble avoir prises très loin d’ici et en reconnaissance de l’imposteur qui se dresse à sa place. »
On peut abandonner son intégrité pour presque rien mais c’est tout ce que nous possédons réellement, tout ce qui nous reste à la fin. Et dans ce petit espace nous sommes libres.
J’ose tout ce qui sied à un Homme ; qui n’ose point n’en est plus un.
lettre de Valérie ;
- Spoiler:
Je sais que je ne peux prouver que ce n’est pas un de leurs pièges mais ça m’est égal. Je suis moi. Je m’appelle Valérie. Je ne pense pas que je vivrais encore très longtemps et je voulais raconter ma vie à quelqu’un. Voici la seule autobiographie que j’écrirais. Et Mon dieu ! Je le fait sur du papier toilette !
Je suis née à Nottingham en 1985. Je ne me rappelle pas grand chose de cette époque lointaine mais je n’ai pas oublié la pluie. Ma grand-mère possédait une ferme à total brook et elle avait coutume de dire que Dieu vivait dans la pluie. Après avoir réussi l’école primaire je suis rentrée au collège de jeunes filles. C’est là que j’ai rencontré ma première petit amie. Elle s’appelait Sarah. Ses poignets... Ils étaient magnifiques. Je pensais qu’on s’aimerait pour toujours. Je me souviens de notre professeur nous expliquant que ce n’était qu’une phase de l’adolescence qu’on oublierait. Sarah a oublié, pas moi.
En 2002 je suis tombée amoureuse d’une fille qui s’appelait Christina. C’est cette année là que j’ai tout dit à mes parents. Je n’aurais pas pu si Chris ne m’avait pas tenu la main. Mon père ne m’a même pas regardé. Il m’a ordonner de partir et de ne plus jamais revenir. Ma mère, ne disait rien. Mais je n’avais fait que leur dire la vérité. Était-ce si égoïste ? On peut abandonner son intégrité pour presque rien, mais c’est tout ce que nous possédons réellement, tout ce qui nous reste à la fin ; et dans ce petit espace, nous sommes libres.
J’ai toujours su ce que je voulais faire de ma vie. Et en 2015 j’ai joué dans mon premier film, Les marais salant. ça a été le rôle le plus important de ma vie. Pas pour ma carrière mais parce que c’est là que j’ai rencontré Ruth. Dès notre premier baiser j’ai su que jamais je ne voudrais embrasser d’autres lèvres que les siennes. Nous avons emménagé ensemble dans un petit appartement à Londres. Pour moi, elle faisait pousser des Scarlet Carson dans notre jardinière et notre intérieur embaumait toujours la rose. Ce furent les plus belles années de ma vie. Mais la guerre ne faisait qu’empirer aux États-Unis et elle finit par toucher Londres. Après ça il n’y eut plus jamais de roses, pour personne. Je me souviens de quelle façon le sens des mots se mit à changer, de quelle façon des mots peu familiers comme « collatéral » et « interprétation » devinrent effrayants ; tandis que d’autres comme « le feu nordique » ou « article d’allégeance » montaient en puissance. Je me rappelle quand « différent » a pris le sens de dangereux. Je ne comprends toujours pas, pourquoi nous détestent-ils à ce point ? Ils arrêtèrent Ruth alors qu’elle faisait les courses. Je n’ai jamais autant pleuré de ma vie. Ils n’ont pas tardé à venir me chercher. C’est bizarre de me dire que ma vie finira dans un endroit aussi horrible. Mais pendant trois ans j’aurais eu des roses sans jamais devoir m’excuser. Je vais mourir ici. Toutes les parties de mon être vont périr ; toutes, sauf une, un détail, un tout petit détail fragile, mais qui est la seule chose dans ce monde qui ait de la valeur. Il ne faut jamais le perdre ou l’abandonner. Il ne faut jamais laisser personne nous le prendre.
J’espère, qui que vous soyez que vous vous échapperez d’ici, j’espère que le monde changera, et que tout s’arrangera. Et ce que j’espère plus que tout, c’est que vous me comprendrez quand je vous dit que même si je ne vous connaît pas, même si je n’ai jamais eu l’occasion de vous rencontrer, de rire avec vous, de pleurer avec vous ou de vous embrasser, je vous aime. De tout mon cœur. Je vous aime. Valérie.
Attention, à ne pas lire si vous n'avez pas vu le film.
- Spoiler:
« Qui il était ? - Il était Edmond Dantès... Il était mon père, et ma mère, mon frère, mon ami... Il était vous, et moi. Il était chacun de nous. »
« Personne n’oubliera jamais cette nuit là et tout ce qu’elle a représenté pour ce pays. Mais moi, je n’oublierai jamais l’homme, et tout ce qu’il a représenté pour moi. »
(je pense que je vais arrêter là x) d'autres films une autre fois)
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| Sujet: Re: ♦ Citations [FILMS] | |
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